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Questions courantes sur Leclerc Granville

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Description de l’entreprise Leclerc Granville et de son SAV

À propos de Leclerc

L’Association des Centres Distributeurs E. Leclerc, deuxième groupe français de distribution (après la fusion Carrefour-Promodes d’août 2000), est une coopérative privée qui regroupe près de 500 membres et leurs 358 « hypermarchés » (vastes entrepôts qui vendent tout, des produits d’épicerie traditionnels aux pièces détachées pour voitures, appareils électroménagers et autres articles de type grand magasin) et 143 supermarchés. Le groupe Leclerc gère également un réseau de 472 stations-service, 200 bijouteries (le Manège à Bijoux, le plus grand vendeur de bijoux en or en France), près de 140 cafétérias, près de 100 agences de voyage, quelque 70 centres de service automobile, plus de 60 magasins spécialisés dans la quincaillerie et/ou le jardinage et une cinquantaine de « Centres culturels » proposant des livres, des vidéos et des DVD, des disques compacts, des ordinateurs et des fournitures et équipements informatiques. Nombre de ces magasins spécialisés sont situés sous le même toit ou dans le même complexe de parcs que les hypermarchés du groupe. Toutefois, la bannière Leclerc est également présente dans un certain nombre de magasins spécialisés indépendants plus petits, principalement des magasins de vêtements, mais aussi des magasins de meubles et de parfums. Malgré sa domination sur le marché français, Leclerc est à peine présent à l’international, avec moins de 15 magasins en Espagne, au Portugal et en Pologne, et prévoit d’ouvrir des magasins en Italie. Afin de contrer la consolidation croissante du marché français de la vente au détail, Leclerc a conclu un accord de coopération avec le groupe de distribution coopératif Système U, qui exploite principalement des supermarchés. L’entreprise est dirigée par le fils du fondateur, Edouard-Michel Leclerc, tandis que le fondateur lui-même, Edouard Leclerc, reste actif dans la planification de la stratégie du groupe.

La religion de la vente au détail dans les années 1950

Edouard Leclerc abandonne ses études pour le sacerdoce catholique en 1949 et ouvre une petite épicerie à Landerneau, dans le nord de la France. Dès le début, la vision de Leclerc de la vente au détail comporte une composante sociale, en offrant aux consommateurs des prix de gros à une époque où le mot « discount » n’est pas encore entré dans le vocabulaire du shopping français. Les politiques de prix de Leclerc l’ont rapidement mis en conflit avec d’autres commerçants locaux, aussi bien des épiceries et des grands magasins que leurs fournisseurs industriels. Lorsque les concurrents de Leclerc dans le commerce de détail ont lancé une campagne de « dumping », en vendant des produits en dessous des coûts, tout en fixant des prix plus élevés pour Leclerc lui-même, ils ont encouragé leurs fournisseurs soit à refuser de livrer des marchandises au magasin de Leclerc, soit à le forcer à pratiquer des prix fixes pour leurs marchandises.

Leclerc a cependant riposté, faisant preuve d’un esprit de combat qui allait caractériser l’entreprise, notamment dans les années 1980 ; en 1953, il a réussi à faire adopter une nouvelle législation, la loi dite « Pinay », qui interdisait de distinguer les détaillants individuels et de fixer des prix fixes. Une fois le champ de bataille commercial aplani, Leclerc entreprend de construire son empire de la vente au détail.

Parmi les caractéristiques de la première organisation de Leclerc, il y avait son engagement à l’égard de l’avancement de ses employés. Les employés de Leclerc ont été encouragés à gravir les échelons, puis ont reçu de l’aide pour obtenir le financement nécessaire à leur départ et à la création de leurs propres magasins sous la marque Leclerc. Leclerc lui-même, et plus tard d’autres propriétaires de magasins Leclerc, ont été les parrains du nouveau magasin, fournissant des garanties financières pour le nouveau propriétaire. La volonté de financer la croissance des nouvelles entreprises, plutôt que de se contenter d’accroître ses propres avoirs, allait devenir une caractéristique importante du groupe Leclerc, où aucun propriétaire de magasin – y compris Edouard Leclerc lui-même – n’était autorisé à posséder plus de deux magasins.

En 1958, le nom Leclerc figurait sur plus de 50 magasins. Cette année-là, un groupe de dirigeants d’une entreprise locale s’est réuni pour ouvrir un magasin Leclerc à Grenoble. L’année suivante, Leclerc ouvre son premier magasin en région parisienne, à Issy-les-Moulineaux, qui deviendra plus tard le siège de la société Leclerc. Pendant ce temps, Leclerc continue à faire évoluer le marché français de la vente au détail et de la distribution. En 1960, le groupe lance une campagne pour contourner les monopoles de distribution alors en place, en organisant des manifestations d’agriculteurs à Paris pour réclamer le droit de vendre directement à Leclerc, sans passer par un tiers. L’initiative Leclerc a une nouvelle fois donné lieu à une nouvelle législation. Celle-ci aboutit à la création, en 1962, d’une association d’achat groupé entre les propriétaires de magasins Leclerc, précurseur de la réorganisation du groupe en coopérative à la fin de la décennie.

L’essor du concept de supermarché au milieu des années 60 a conduit à une création typiquement française : l’hypermarché. Regroupant sous le même toit les produits traditionnels du supermarché et les articles que l’on trouve habituellement dans les grands magasins, l’hypermarché a rapidement conquis les consommateurs français. Edouard Leclerc a été le premier du groupe Leclerc à explorer ce nouveau territoire, en agrandissant son magasin de Landerneau pour en faire le premier hypermarché Leclerc. Il était tout à fait normal que Leclerc élargisse son assortiment de produits, car le groupe continuait à faire pression sur les différents monopoles de distribution pour obtenir le droit de pénétrer sur un territoire jusqu’alors restreint. La cible suivante du groupe était l’industrie laitière, longtemps contrôlée par un certain nombre de coopératives laitières. Au début des années 1960, l’association Leclerc s’est associée à plusieurs producteurs laitiers français pour mettre en place des organisations d’achat direct de lait et de produits laitiers fermiers.

Le nombre de magasins Leclerc a rapidement augmenté dans les années 1960. Cependant, les dissensions se multiplient dans les rangs des propriétaires de magasins. Les désaccords atteignent leur paroxysme en 1969, lorsqu’un groupe de 95 propriétaires-exploitants de magasins Leclerc, dirigé par Jean-Pierre Le Roch, quitte le groupe Leclerc et crée une nouvelle coopérative de supermarchés, ITM Entreprises, qui devient l’un des plus grands groupes de distribution français sous les enseignes Intermarché et Bricomarché. Alors que le groupe Le Roch poursuivait un concept de supermarché et de magasin spécialisé distinct, le groupe Leclerc s’est plutôt concentré sur la construction de ses hypermarchés et supermarchés monomarques Leclerc. En 1970, les autres propriétaires de magasins Leclerc ont réorganisé leur association sous la forme de la coopérative Groupement d’Achat des Centres E. Leclerc, ou GALEC.

Le monopole Buster dans les années 1970 et 1980

En 1972, la première législation destinée à limiter la croissance de la tendance des hypermarchés en France – inspirée par une tentative de protection du petit commerçant, les grands groupes de distribution s’appropriant une part de plus en plus importante du marché de la vente au détail – a menacé la croissance de la coopérative Leclerc. La législation exigeait que toutes les nouvelles surfaces de vente au détail proposées reçoivent une autorisation et acceptent un certain nombre de conditions, telles que le financement de constructions d’infrastructures sans rapport (piscines municipales et autres) dans les communautés où elles cherchaient à s’implanter. Le groupe Leclerc a riposté en dénonçant la discrimination du nouveau système à l’encontre, ironiquement, du petit commerçant, qui devait assumer une charge financière encore plus importante pour construire un nouveau magasin. Les commerçants existants ont également pu utiliser la nouvelle législation pour protéger leur territoire de vente au détail. Pourtant, un certain nombre de membres de Leclerc ont fait fi de la nouvelle législation, construisant de nouveaux hypermarchés sans attendre l’autorisation requise, souvent avec le soutien de groupes locaux de consommateurs et de syndicats.

L’esprit de lutte de Leclerc s’est poursuivi tout au long des années 1970. Au milieu des années 1970, Leclerc s’est tourné vers de nouveaux fronts. Le premier, le monopole de la distribution du poisson, qui a vu la totalité du poisson du pays transformé dans une installation centrale à Rungis, à Paris, et a pris une marge élevée sur les ventes aux distributeurs. En 1975, Leclerc a commencé à organiser ses propres installations d’achat direct en coopération avec un certain nombre de groupes de pêche indépendants.

Pendant ce temps, avec la flambée des prix du gaz et du pétrole dans le sillage de l’embargo pétrolier arabe, Leclerc s’en prend à un nouveau monopole, celui du marché de l’essence contrôlé par Total et Elf en France. En 1976, Leclerc a commencé à ouvrir ses propres stations d’essence, à effectuer des achats auprès de compagnies pétrolières indépendantes hors de France et à réduire le prix du litre d’essence. L’imposition de la compagnie sur ce marché a contribué à faire baisser le prix exorbitant de l’essence en France.

À la fin des années 1970, Leclerc a continué à chercher des moyens de gagner son indépendance par rapport aux monopoles de distribution du pays. En 1978, le groupe a acheté un abattoir en Bretagne, puis a construit une usine de transformation du porc, la plus grande de France, tout en ouvrant une salaison qui permet de couvrir jusqu’à un tiers des besoins des coopératives. Pendant cette période, un nombre croissant de membres des coopératives Leclerc convertissent leurs magasins au concept d’hypermarché ; au début des années 1980, le nom Leclerc englobe plus de 100 hypermarchés dans toute la France.

Le fils de Leclerc, Edouard-Michel, rejoint la société en 1979 et en devient le coprésident en 1982. Le jeune Leclerc a contribué à dynamiser l’esprit de lutte de Leclerc, en confrontant la coopérative à d’autres monopoles de distribution dans les années 1980. Parmi les segments protégés du commerce de détail attaqués par Leclerc au cours de la décennie, on trouve les vêtements, les articles de sport, les parfums, les cosmétiques et d’autres produits « parapharmaceutiques », comme les vitamines. La coopérative a également fait son entrée sur le marché des bijoux en or en créant la société de fabrication de bijoux en or DEVINLEC, proposant les propres créations du groupe dans ses boutiques Manèges à Bijoux (généralement situées dans le centre commercial de l’hypermarché) à des prix jusqu’à 60 % inférieurs à ceux de ses concurrents. De même, le groupe a pu entrer sur le marché jusqu’alors protégé des agences de voyages en créant une joint-venture avec le Groupe Bolloré, connue sous le nom de Leclerc Voyages. Les batailles juridiques de Leclerc – et ses succès – ont permis de briser un certain nombre de monopoles de vente au détail, en faisant baisser les prix d’une grande variété de produits. L’entreprise a également contourné le monopole régissant le système de cartes de crédit du pays en installant son propre réseau de serveurs pour traiter les transactions par carte de crédit. La société a également ajouté son propre réseau de centres de service automobile à ses complexes d’hypermarchés, qui sont passés à 150 centres au début des années 1990.

 

PS : Le service de mise en relation avec les SAV proposé par le site contacter-sav.org est un service indépendant et non affilié à la société Leclerc Granville. Les coordonnées gratuites ou de mise en relation sont indiquées dans les textes ci-dessus.

Page de renseignement SAV pour Leclerc Granville crée le 21 juin 2020 – Indice 0 

Dernière modification : 23/02/21